REVUE DE VIE semaine du 02/01/07 au 09/02/07

Quid d’une semaine politiquement ultracorrecte (cf. les propositions façon rupture tranquille de la candidate du parti socialiste) : un taf de papa quasi exemplaire (genre gestion quotidienne de trois enfants, avec accident de crèche (chouette tète de boxeur pour Emile, genre je me suis fracassé le nez en tentant de me mettre debout, puis je me suis fait mordre par ma future maitresse…), anniversaire des 6 ans de Gathos (12 kids déchainés une après midi entière, résultat dès 20h30 je pionça ma race…), repas, bains, histoires, marché du vendredi matin, jeux divers….), un taf de producteur de disques vaguement depress, un taf de manager-fumeur de cigarettes roulées avec Krao jusqu’à point d’heure le mardi soir, un taf de juré pour groupes pop assez navrants un jeudi soir dans une chouette salle de musiques actuelles lyonnaises, une visite un après-midi avec l’ami prousty chez un fabricant d’enceintes acoustiques ( à 75 000 euros la paire, quand même), un taf de lecteur attentif (‘’itinéraire spiritueux’’ de Gérard Oberlé chez Grasset, ‘’le rock et moi’’ de Joe Sacco, les mémoires miteuses mais marrantes d’Andrew Loog Oldham, mais bon, on reviendra sur tout ça bientôt), un taf d’auditeur attentif (cette semaine, c’était Brian Eno, David Bowie, Fujiya & Miyagi, Joe Meek, la canicule version Jeanne Cheral et bien entendu, pas mal de tatapoum façon druggy music de 5h du matin…), un taf de maitre-chien dépassé par les évènements (putain, Scratch mon jack russell from Spa, c’est vraiment un craignos…) et taf de maitre de maison qu’assure la mort (ah le repassage du fameux tee-shirt Motorhead 9 mois d’Emile devant Stade 2)…Bon pas la peine non plus de frimer trop vu que j’ai oublié de faire plein de trucs (dont par exemple reprendre une sorte de régime macro qui me ferait sans doute le plus grand bien, ou encore du bricolage pour éviter la jouatisation de la maison rouge…).
Dans la presse, il y a le nouveau Mojo avec un chouette papier sur les Pistols, un Trax un peu fadasse, Libé tout pourri, du David Lynch de partout (qu’est ce qu’ils ont tous avec lui ?) et toujours, tout le temps, le nain hongrois qui s’y groit déjà…Sauf qu’il va galérer l’animal, et payer tout cela très cher, un jour….