Raster-noton, voila un label d’electronica important (euh, pour les quelques freaks amateur d’épure, de design gris blanc, de glinchy bleepy breaky electronic music, de truc d’art contemporain quoi) et donc là, c’est l’un des boss historique du label (Olaf Bender, l’homme du look Rn) qui s’y colle. L’artworking est évidemment parfait (très beau digipack trois volets servi dans un plastic bag raccord), le son est tranchant et limpide, et surprise, là où souvent on n’entend qu’exercice de style un peu stérile, ces neufs titres font mouche : de la techno limite originelle, influencée post detroit electro et warp premiere époque, comme un mélange de Juan Atkins, Polygon widow et Panasonic. Ok c’est plus épileptique que groovy (bien que…), c’est un peu sombre, très métallique, assez puissant (tu vois le bruit d’une autoroute, ou d’un triage de fret ferroviaire ?), et le rendez est assez fascinant, très beau et terriblement accrocheur.
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1 commentaire:
Encore un truc pour Laurent Graber, ça.
Ma Ga
http://www.alimentationgenerale.org
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